Elle danse avec son Soi !

Elle danse avec son Soi

N’est-il ma magnifique de la voir s’épanouir de ses perceptions enchanteresses, alors que dans l’ignorance de l’arrogance, l'Amour se joint à elle n’y voyant que ce qu’Il est parce que la création ne peut être moins que la somme de Ses pensées n’en formant qu’Une seule.

L’Amour créer pareil à Lui-même et ce, à l’infini. Jamais il n’y eu de temps où l’Amour fut différent   de ce qu’Il a toujours été, et jamais cela ne se produira, car la perte en Soi est tout simplement et adorablement impossible.

Soi, ma liberté est en toi Seul ...

Il est niet d’avoir cru que ma liberté pouvait être à l’extérieur de ce que Je suis, sans doute la raison pour laquelle elle n’y est pas …

Le sens de ma liberté a semblé m’échapper le jour où j’ai décidé qu’il y aurait nuit, et c’est par cette pensée que je l’ai confié au jugement de Soi. Ce que je suis en réalité ne peut être créé, car Il a toujours existé fessant de l’idée de la conceptualisation une façon illusoire de se révéler, de se rencontrer par le « rêve », par le temps, le limitatif, l’Illimité en l’éternel Joie que je suis maintenant et à jamais.

Peut-importe ce à quoi, ou ce à qui j’ai pensé pouvoir confier ma liberté, cela ne pourra toujours être qu’à moi-même, car la liberté est vérité et la vérité est absolue.

Nulle forme n’est réelle mais les apparences de la tromperie de Soi peuvent sembler contenir un goût d’amertume plutôt diversifiée, violent, subtile et souvent même intéressant. Heureusement, l’Un que nous sommes, dans son infini perfection, a pris soin de déposer Son seul Fils en chaque chose, en chaque corps et en chaque illusion.

Je n'ai jamais renoncé en quoique ce soit, car je je ne peu renoncer qu'en ce qui n'a jamais existé dis-je...

Et pourtant les coupables renonceront même au pardon dit celle qui danse, non pas par conviction de ta délivrance par l’ego, mais simplement parce qu’une fois la supercherie de la division réalisée, le pardon disparait avec ce qui semblait justifier sa nécessité sans toutefois rendre le Fils irréel mais simplement en reconnaissance qu’il n’y eu jamais de « faire » mais toujours que « l’Être », donc rien à pardonner.

Réjouis-toi, puisque la seule perte qui puisse être anticipée est celle de la perte elle-même.

Repose-toi en Toi, toi qui es Lui, et danse avec ton Soi le cœur léger et libéré de ce que tu croyais savoir.

Tu te sais maintenant heureux et libre à tout jamais!...