L’origine du Pardon
Un cauchemar où le Fils de la Vérité s’est lui-même auto-proclamé indigne de son entièreté a divisé l’esprit par une perte de vitesse vibratoire jusqu’à l’illusion de la matière. Le changement vibratoire est une tromperie soi et d’une tromperie ne peut que ressortir la Vérité puisqu’un mensonge demeure ce qu’il est en son insignifiance …
Quoi de plus improbable et invivable que le processus chaotique de création lui-même ou le néant et la perte de pouvoir semblent devenus ton ami, ton souffle de vie,… !?
C’est le fait de condamner qui instaure la condamnation et dans les faits, c’est à ce qui est incondamnable que celui qui condamne ne peut s’esquiver ... Ainsi tout ce qu’Il rêve doit vivre à jamais car nul qui a frôlé le regard de Dieu et de son Fils ne peut être diminué et privé de ce qui est le même, de son éternité, de la justice qui est égale à Tout ce qui Est ...
Toi qui es moi, voit comme il est bon de savourer ce moment de plénitude, celui où je/tu ressens cette profonde vérité à l’intérieur de toi/moi, d’avoir la certitude que ce que je/tu fais n’est qu’amour et expansion de ma/ta propre volonté.
Le jugement est à l’origine du pardon et ce sont par mes/tes rêveries infantiles que l’esprit s’étend dans la matière et qu’il apprend par la flexibilité, la dilatation complète, tangible et invisible, de son devenir en ce qu’il est, assis à la droite de l’Intemporel, du Père Céleste.
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