La contrariété, l’amie des symboles !
Un symbole n’est rien de plus qu’un objet non-identifié et non-identifiable, puisqu’inexistant, il a pour mandat d’apporter autant de distinctions et de nuances dans la perception que j’ai de moi/toi-même tout en tentant d’établir la différence entre ce qui me semble être à l’extérieur de moi afin de justifier de mon désir de contrôle, raison pour laquelle il me paraît juste et bon de les juger encore et encore afin d’en savourer d’avantage le goût inconscient de l’amertume et de la mort qui résulte de la condamnation en ce qui semble être les prophéties des faux dieux pour lesquelles je m’incline sottement ...
Heureusement, celui/celle qui est désireux de s’honorer en Tant que Soi se réjouira de savoir que l’ensemble de ses pensées, en lien avec la totalité des symboles qu’il a imaginé, ne signifie rien tout comme ce qu’il regarde avec les yeux du corps ...
De ce fait, à quoi bon s’identifier à la contrarié à la vue du néant sachant que de celui-ci, il n’e peut que ressortir l’amour inconditionnel en chaque contenants que représente chaque symboles ...
C’est ainsi que le contrarié se rend compte que la raison pour laquelle il contrarie est aussi contrariante qu’insignifiante puisqu’elle n’est pas là ...
Dieu ne nous a pas créés différents, Il nous a offert les mêmes dons qu’Il a Lui-même n’en excluant aucun, et Il nous demande par sa résilience infinie de nous éveiller à la Beauté et de la redonner à ce que nous avons imaginés ...
Mon guide est le juste pardon qui est à l’intérieur de soi en Soi et la récompense est la Vérité, la quiétude de l’Unité !…
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