La matière, l’embryon de la conscience
La mort n’est certainement pas synonyme de finitude mais bel et bien d’un amour sans fin qui permet le remodelage de ce qui appartient au rêve, à l’incarnation, à l’irréel, au dévoilement de l’esprit divisé qui apprend son unité (identité) par l’effet miroir, en découvrant que tout ce qu’il croit être à l’extérieur de lui fait parti de sa constitution et relève de son ingénierie, conceptualisé habilement ou maladroitement, se rapprochant ainsi, un rêve à la fois, du doux rappel de son Créateur, de son Infini, de la Conscience entière et sans rupture.
La fin de la jonction
Celui qui veut la vérité ici et maintenant peut changer sa perception pour la vision. Choisis simplement de ne plus t’identifier aux rêves de terreurs. Ainsi, le rêveur est séparé du rêve et tu te joins au rêveur sans le rêve et lâche prise de ce qui n’a pas de lieu (passé et futur). Le rêveur est ton frère-sœur et c’est sa réalité qui est tienne et non son rêve. Sa réalité est Conscience seulement et n’appartient à aucune forme particulière, elle est empreinte d’Équilibre, d’Amour et de Paix. Elle vit et rayonne au travers de tout ce qui Est.
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