La peur d’aimer, une drôle d’idée !
En la philanthropie réside le parjure et la peur de ce dernier, et là où est la peur, l’aversion s’y trouve également puisque les deux ne peuvent être séparés.
Celui/celle qui se dit aimant, dans la dualité, tremble de terreur devant l’amour et pense aimer ce qu’il déteste. C’est ainsi que l’amour devient une ombre et que la haine prend la place de l’amour.
Au cœur du berceau philanthropique réside la clé du salut qui est le désintéressement, le détachement voire même l’oubli du cauchemar.
Le Vrai philanthrope est Celui qui sait qu’Il est Tout en dépit de l’illusion du rêve qu’Il est une forme ...
Il aime ce qui est changement, puisqu’en ce dernier il voit l’inchangé et l’Unité dans le changement qui assure le cercle merveilleux et interminable de la Création qui permet à l’Esprit de s’étendre encore et à jamais dans les profondeurs océaniques de son Amour Inconditionnel.
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